lundi 7 janvier 2013

Foi Vs Commérages



Où il y a des gens, il y a «le dit et le non dit», des commérages, des intrigues, des critiques et tant d’autres choses.
Peu importe si les gens sont adultes, jeunes ou même enfants. La langue fonctionnera toujours.
Le plus souvent, pour le mal.
Dans l'église, cela n'est pas différent, même parmi les supposés spirituels.
Ils prient, font des oraisons, des supplications et ensuite critiquent les autres.
Ils l’utilisent tant pour le bien que pour le mal.
Avec elle, ils tentent de servir Dieu, mais, bien sûr, servent le diable.
Comment l’administrer juste pour le bien?
Comment se défendre de la mauvaise langue?
Il n’y a qu’une façon: la foi.
La foi sans âme, sans cœur, sans sentiments...
Lorsque vous entendez des voix qui ne soient pas en accord avec la Parole de Dieu.
C'est-à-dire, des voix qui produisent des doutes, un mal être, des conflits intimes, des craintes, des préoccupations, enfin des voix qui stressent, immédiatement nous devons les envoyer au plus profond de l'enfer.
Ceux de la foi sans sentiment, ne juge pas selon l'apparence, ne prêtent pas attention aux choses visibles, ne sont pas réceptifs aux choses qui viennent de ce monde ténébreux.
Mais, AFFERMISSENT LEURS PENSEES ET LEURS PAS DANS LES PROMESSES DE DIEU.
Ils ne s’intéressent pas à des choses sans importance, aux petits détails insignifiants et bien moins aux opinions d'autrui.
Ils ne se soucient pas de leur image, de ce qu’on va dire, etc…
Soyez sage, mes chers lecteurs; blindez votre foi avec la puissance de la Parole de Dieu, en méprisant les sentiments.
Ne donnez pas d’importance aux clients qui prennent votre tranquillité.
Soyez intelligents et pratiquez ce conseil:
«…nous regardons, non point aux choses visibles, mais à celles qui sont invisibles ; car les choses visibles sont passagères, et les invisibles sont éternelles.» (2 Corinthiens 4:18)

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